Dans un programme inattendu et « inouï », le groupe de rock progressif Wyvern et l’ensemble de musique ancienne Les Voix Animées, dialoguent, confrontent et conjuguent leurs forces créatrices. Quand deux univers diamétralement opposés se rejoignent...

Depuis la création des Voix Animées en 2009, nous avons constaté que certains de nos chanteurs avaient eu une première vie musicale et artistique dans le domaine des musiques actuelles, que plusieurs avaient même joué dans des groupes de métal. Il était tentant de questionner alors leur goût particulier pour le « cross-over ». Ne dit-on pas qu’en France tout finit par une chanson ? Et bien cette fois-ci, c’est par une chanson que tout commence, celle de « L’Homme Armé ». Cette mélodie, très célèbre au début du XVe siècle encore tourmenté par la guerre de Cent Ans, fût utilisée comme « cantus firmus », comme colonne vertébrale sonore par Guillaume Dufay pour composer une messe.

Alors que Les Voix Animées chanteront la missa supra « L’Homme Armé » et que Wyvern jouera certaines pièces de son répertoire, les deux effectifs musicaux sortiront progressivement d’une première alternance structurelle et donneront libre cours à leur inspiration créant ainsi une œuvre collective originale.

Luc Coadou, directeur artistique

Dans un programme inattendu et « inouï », le groupe de rock progressif Wyvern et l’ensemble de musique ancienne Les Voix Animées, dialoguent, confrontent et conjuguent leurs forces créatrices. Quand deux univers diamétralement opposés se rejoignent...

Depuis la création des Voix Animées en 2009, nous avons constaté que certains de nos chanteurs avaient eu une première vie musicale et artistique dans le domaine des musiques actuelles, que plusieurs avaient même joué dans des groupes de métal. Il était tentant de questionner alors leur goût particulier pour le « cross-over ». Ne dit-on pas qu’en France tout finit par une chanson ? Et bien cette fois-ci, c’est par une chanson que tout commence, celle de « L’Homme Armé ». Cette mélodie, très célèbre au début du XVe siècle encore tourmenté par la guerre de Cent Ans, fût utilisée comme « cantus firmus », comme colonne vertébrale sonore par Guillaume Dufay pour composer une messe.

Alors que Les Voix Animées chanteront la missa supra « L’Homme Armé » et que Wyvern jouera certaines pièces de son répertoire, les deux effectifs musicaux sortiront progressivement d’une première alternance structurelle et donneront libre cours à leur inspiration créant ainsi une œuvre collective originale.

Luc Coadou, directeur artistique

Deux courts métrages de et avec Charlie Chaplin accompagnés par 4 voix a cappella.

Sur la toile, l’inoubliable Charlot, figure incontournable de l’histoire du cinéma ! Au pied de l’écran, sur des musiques de Bach à Verdi, des Frères Jacques à Charles Chaplin… Les Voix Animées accompagnent en direct, a cappella, les acrobaties du génial petit bonhomme : une véritable performance vocale, rythmée, et drôlement virtuose !
Un spectacle étourdissant, poétique et ludique, qui invite petits et grands à voyager au début du XXe siècle, au temps du cinéma muet où les films étaient accompagnés en direct par des musiciens, et à (re)découvrir de nombreux thèmes essentiels de notre patrimoine musical !

Musiques de Bach, Brahms, Verdi, Chaplin, Scott Joplin, Les Frères Jacques...

CHARLOT POLICEMAN (EASY STREET) - 1917 - NB- USA - 26 MIN.

Charlot, un vagabond, s’apprête à dérober la quête d’une mission de bienfaisance, mais rencontre une jeune missionnaire qui le remet dans le droit chemin. Il s’engage dans la police mais on l’envoie dans le quartier le plus mal famé de la ville...

Avec Charles Chaplin, Edna Purviance

CHARLOT S’ÉVADE (THE ADVENTURER) - 1917 - NB - USA - 26 MIN. 

Charlot, un prisonnier, réussit à échapper à la vigilance des gardiens de la prison. Il sauve une jeune femme de la noyade et se retrouve dans une réception donnée en son honneur par les parents de la jeune fille. L’un des invités va le reconnaître…

Avec Charles Chaplin, Edna Purviance

Mise en scène : Jean-Christophe Mast
Composition, adaptation et arrangements : Alexis Roy
Régie son et vidéo : Marc Poveda

Un concert exceptionnel célébrant la féminité et rendant hommage à deux compositrices oubliées de la Renaissance.
 
En 1374, Giovanni Boccace publie le « De mulieribus claris » (Sur les femmes célèbres), une réponse au
« De viris illustribus » (Sur les hommes illustres) de Francesco Petrarca...
Sous ce titre éloquent, Les Voix Animées vous proposent de découvrir un programme consacré à des femmes, célèbres ou non, simples inspiratrices ou remarquables créatrices.
À la suite de musiques chantant tour à tour Anne de Bretagne, Marie-Madeleine, La Reine de Saba ou Vénus, nous vous présentons un florilège de madrigaux de deux femmes illustres, deux compositrices italiennes actives dans la seconde partie du XVIe siècle, Maddalena Casulana et Raffaella Aleotti.
 
 « Je veux montrer au monde, autant que je peux dans cette profession de musicienne, l’erreur que commettent les hommes en pensant qu’eux seuls possèdent les dons d’intelligence et que de tels dons ne sont jamais donnés aux femmes. » (Dédicace de Maddalena Casulana à Isabelle de Médicis, « Premier Livre de Madrigaux », Venise, 1566).
 
Musique sacrée et profane de Maddalena Casulana, Raffaella Aleotti, Tomás Luis de Victoria, Philippe de Monte, Giaches de Wert, Manuel Cardoso, Jean Mouton...

Un concert exceptionnel célébrant la féminité et rendant hommage à deux compositrices oubliées de la Renaissance.
 
En 1374, Giovanni Boccace publie le « De mulieribus claris » (Sur les femmes célèbres), une réponse au
« De viris illustribus » (Sur les hommes illustres) de Francesco Petrarca...
Sous ce titre éloquent, Les Voix Animées vous proposent de découvrir un programme consacré à des femmes, célèbres ou non, simples inspiratrices ou remarquables créatrices.
À la suite de musiques chantant tour à tour Anne de Bretagne, Marie-Madeleine, La Reine de Saba ou Vénus, nous vous présentons un florilège de madrigaux de deux femmes illustres, deux compositrices italiennes actives dans la seconde partie du XVIe siècle, Maddalena Casulana et Raffaella Aleotti.
 
 « Je veux montrer au monde, autant que je peux dans cette profession de musicienne, l’erreur que commettent les hommes en pensant qu’eux seuls possèdent les dons d’intelligence et que de tels dons ne sont jamais donnés aux femmes. » (Dédicace de Maddalena Casulana à Isabelle de Médicis, « Premier Livre de Madrigaux », Venise, 1566).
 
Musique sacrée et profane de Maddalena Casulana, Raffaella Aleotti, Tomás Luis de Victoria, Philippe de Monte, Giaches de Wert, Manuel Cardoso, Jean Mouton...

Un concert exceptionnel célébrant la féminité et rendant hommage à deux compositrices oubliées de la Renaissance.
 
En 1374, Giovanni Boccace publie le « De mulieribus claris » (Sur les femmes célèbres), une réponse au
« De viris illustribus » (Sur les hommes illustres) de Francesco Petrarca...
Sous ce titre éloquent, Les Voix Animées vous proposent de découvrir un programme consacré à des femmes, célèbres ou non, simples inspiratrices ou remarquables créatrices.
À la suite de musiques chantant tour à tour Anne de Bretagne, Marie-Madeleine, La Reine de Saba ou Vénus, nous vous présentons un florilège de madrigaux de deux femmes illustres, deux compositrices italiennes actives dans la seconde partie du XVIe siècle, Maddalena Casulana et Raffaella Aleotti.
 
 « Je veux montrer au monde, autant que je peux dans cette profession de musicienne, l’erreur que commettent les hommes en pensant qu’eux seuls possèdent les dons d’intelligence et que de tels dons ne sont jamais donnés aux femmes. » (Dédicace de Maddalena Casulana à Isabelle de Médicis, « Premier Livre de Madrigaux », Venise, 1566).
 
Musique sacrée et profane de Maddalena Casulana, Raffaella Aleotti, Tomás Luis de Victoria, Philippe de Monte, Giaches de Wert, Manuel Cardoso, Jean Mouton...

Musique vocale sacrée de la Renaissance.

William Byrd et Thomas Weelkes, une douce mémoire.    
 
En un florilège de musique sacrée où s’entremêlent l’anglais et le latin, Les Voix Animées rendent hommage à deux grands polyphonistes anglais de l’époque élisabéthaine, William Byrd et Thomas Weelkes, décédés en 1623, il y a tout juste 400 ans. Un sommet de l’art vocal de la Renaissance.
 
Motets anglais des XVI^e et XVII^e siècles.
Musique de Byrd, Weelkes, Tomkins, Morley...
 

Musique vocale sacrée de la Renaissance.

William Byrd et Thomas Weelkes, une douce mémoire.    
 
En un florilège de musique sacrée où s’entremêlent l’anglais et le latin, Les Voix Animées rendent hommage à deux grands polyphonistes anglais de l’époque élisabéthaine, William Byrd et Thomas Weelkes, décédés en 1623, il y a tout juste 400 ans. Un sommet de l’art vocal de la Renaissance.
 
Motets anglais des XVI^e et XVII^e siècles.
Musique de Byrd, Weelkes, Tomkins, Morley...
 

Les Voix Animées chantent ensemble depuis 2009, sous la direction musicale de Luc Coadou. Leur spécialité est la polyphonie a cappella et leur répertoire s'étend de la Renaissance à nos jours. L’ensemble vocal vous propose un menu musical dans le goût des Voix Animées, où s’enchaînent dans un rythme joyeux des splendeurs de la musique sacrée de la Renaissance, des pépites de la chanson profane du XVIe siècle et un vaste répertoire de chansons françaises et anglo-saxonnes des « sixties et seventies ».

Un moment sensible et spirituel pour toutes les oreilles à découvrir et à déguster a cappella bien sûr !

Musique vocale sacrée de la Renaissance.

Splendeurs polyphoniques du siècle d’Or.    
 
Un concert flamboyant au doux parfum d’Espagne. Les Voix Animées vous proposent d’entendre un programme consacré à la musique de Tomás Luis de Victoria, compositeur majeur de la fin de la Renaissance espagnole. Une luxuriance polyphonique pour double chœur, mêlant rigueur et spiritualité.
 
Missa « Ave Regina Caelorum » de Tomás Luis de Victoria,
« Magnificat primi toni » de Giovanni Pierluigi da Palestrina.
 

Musique vocale sacrée de la Renaissance.

Splendeurs polyphoniques du siècle d’Or.    
 
Un concert flamboyant au doux parfum d’Espagne. Les Voix Animées vous proposent d’entendre un programme consacré à la musique de Tomás Luis de Victoria, compositeur majeur de la fin de la Renaissance espagnole. Une luxuriance polyphonique pour double chœur, mêlant rigueur et spiritualité.
 
Missa « Ave Regina Caelorum » de Tomás Luis de Victoria,
« Magnificat primi toni » de Giovanni Pierluigi da Palestrina.
 

Musique vocale sacrée de la Renaissance.

Flamboyances contrapuntiques franco-flamandes du XVe siècle.
 
Au milieu du XVe siècle, alors que la Renaissance s’impose dans les cours italiennes, dans les pays du nord, en Flandre bourguignonne, des chantres-compositeurs développent un art nouveau fait de flamboyances contrapuntiques et, donnent naissance à un style musical qui se répandra dans toute l’Europe.
C’est en utilisant une chanson populaire à la fin du Moyen Âge, « L’Homme Armé », que Guillaume Dufay met en musique l’ordinaire de la messe (Kyrie, Gloria, Credo, Sanctus & Benedictus, Agnus Dei). La mélodie, dont l’origine est sujette à caution, sert de teneur, de « cantus firmus », et structure la composition de la messe. Il ne s’agit pas ici d’une mélodie grégorienne mais d’une chanson profane au thème guerrier qui organise l’œuvre sacrée. Guillaume Dufay ouvre ainsi la voie à d’autres compositions sur le même thème, plus d’une cinquantaine connue, entre le milieu du XVe siècle et le XVIIe siècle, dont celles de Jean de Ockeghem et de Josquin des Prés.
 
Missa « L’Homme Armé » de Guillaume Dufay,

Motets de Arnold de Lantins, Jean de Ockeghem, Josquin des Prés. 

13^e cycle de concerts « Entre pierres et mer »

Ite missa est
 
Les Voix Animées vous emmènent cette année au cœur de l’architecture sonore et musicale à la découverte de deux techniques d’écriture pratiquées par les compositeurs de la Renaissance. De la messe construite autour d’une teneur, une simple mélodie, à la messe se structurant autour d’une polyphonie préexistante, l’ensemble vocal vous invite à aller à la rencontre de l’esprit bâtisseur et de l’univers créatif des chantres des XVe et XVIe siècles.

Musique vocale sacrée de la Renaissance.

Flamboyances contrapuntiques franco-flamandes du XVe siècle.
 
Au milieu du XVe siècle, alors que la Renaissance s’impose dans les cours italiennes, dans les pays du nord, en Flandre bourguignonne, des chantres-compositeurs développent un art nouveau fait de flamboyances contrapuntiques et, donnent naissance à un style musical qui se répandra dans toute l’Europe.
C’est en utilisant une chanson populaire à la fin du Moyen Âge, « L’Homme Armé », que Guillaume Dufay met en musique l’ordinaire de la messe (Kyrie, Gloria, Credo, Sanctus & Benedictus, Agnus Dei). La mélodie, dont l’origine est sujette à caution, sert de teneur, de « cantus firmus », et structure la composition de la messe. Il ne s’agit pas ici d’une mélodie grégorienne mais d’une chanson profane au thème guerrier qui organise l’œuvre sacrée. Guillaume Dufay ouvre ainsi la voie à d’autres compositions sur le même thème, plus d’une cinquantaine connue, entre le milieu du XVe siècle et le XVIIe siècle, dont celles de Jean de Ockeghem et de Josquin des Prés.
 
Missa « L’Homme Armé » de Guillaume Dufay,

Motets de Arnold de Lantins, Jean de Ockeghem, Josquin des Prés,

Création d'un motet de Fabio Marra (commande des Voix Animées pour l’Abbaye du Thoronet).

13^e cycle de concerts « Entre pierres et mer »

Ite missa est
 
Les Voix Animées vous emmènent cette année au cœur de l’architecture sonore et musicale à la découverte de deux techniques d’écriture pratiquées par les compositeurs de la Renaissance. De la messe construite autour d’une teneur, une simple mélodie, à la messe se structurant autour d’une polyphonie préexistante, l’ensemble vocal vous invite à aller à la rencontre de l’esprit bâtisseur et de l’univers créatif des chantres des XVe et XVIe siècles. Dans l’acoustique remarquable de l’abbaye du Thoronet, les proportions du monument et les formes musicales se font écho, engendrant ainsi une expérience sensible et spirituelle.

Musique vocale sacrée de la Renaissance.

Flamboyances contrapuntiques franco-flamandes du XVe siècle.
 
Au milieu du XVe siècle, alors que la Renaissance s’impose dans les cours italiennes, dans les pays du nord, en Flandre bourguignonne, des chantres-compositeurs développent un art nouveau fait de flamboyances contrapuntiques et, donnent naissance à un style musical qui se répandra dans toute l’Europe.
C’est en utilisant une chanson populaire à la fin du Moyen Âge, « L’Homme Armé », que Guillaume Dufay met en musique l’ordinaire de la messe (Kyrie, Gloria, Credo, Sanctus & Benedictus, Agnus Dei). La mélodie, dont l’origine est sujette à caution, sert de teneur, de « cantus firmus », et structure la composition de la messe. Il ne s’agit pas ici d’une mélodie grégorienne mais d’une chanson profane au thème guerrier qui organise l’œuvre sacrée. Guillaume Dufay ouvre ainsi la voie à d’autres compositions sur le même thème, plus d’une cinquantaine connue, entre le milieu du XVe siècle et le XVIIesiècle, dont celles de Jean de Ockeghem et de Josquin des Prés.
 
Missa « L’Homme Armé » de Guillaume Dufay,

Motets de Arnold de Lantins, Jean de Ockeghem, Josquin des Prés. 

13^e cycle de concerts « Entre pierres et mer »

Ite missa est
 
Les Voix Animées vous emmènent cette année au cœur de l’architecture sonore et musicale à la découverte de deux techniques d’écriture pratiquées par les compositeurs de la Renaissance. De la messe construite autour d’une teneur, une simple mélodie, à la messe se structurant autour d’une polyphonie préexistante, l’ensemble vocal vous invite à aller à la rencontre de l’esprit bâtisseur et de l’univers créatif des chantres des XVe et XVIe siècles.

Musique vocale sacrée de la Renaissance.

Palestrina & Lassus, génies de la musique de la fin du XVIe siècle.

Les vies de Giovanni Pierluigi da Palestrina et d’Orlande de Lassus sont à la fois étonnamment mêlées et radicalement différentes par les chemins empruntés et le tempérament exprimé, leurs musiques en témoignent. Giovanni, le sédentaire (il sera sa vie durant au service de la papauté) écrit une musique liturgique fortement inspirée par la Contre-Réforme alors que sa musique profane ne sera que secondaire dans sa production. Orlande, le nomade (des Flandres à Munich en passant par Naples, Rome et Londres) compose dans des styles aussi divers que le madrigal italien, la chanson française galante voire gaillarde et la musique sacrée. Le style de Palestrina est un exemple de contrepoint maîtrisé et abouti, celui de Lassus est foisonnant d’idées et riche de caractère, de nouveautés et de formes.
La missa « Nasce la gioia mia » est une messe parodie inspirée du madrigal éponyme du compositeur napolitain Giovan Leonardo Primavera, ami de Carlo Gesualdo. La science du contrepoint et la maîtrise liturgique de Giovanni Pierluigi da Palestrina font de cette messe l’une des plus abouties du maître romain. Des motets de Orlande de Lassus viennent compléter ce programme intense, spirituel et savant.
 
Missa « Nasce la gioia mia » de Giovanni Pierluigi da Palestrina,
Motets d’Orlande de Lassus,
Madrigal de Giovan Leonardo Primavera.

13^e cycle de concerts « Entre pierres et mer »

Ite missa est
 
Les Voix Animées vous emmènent cette année au cœur de l’architecture sonore et musicale à la découverte de deux techniques d’écriture pratiquées par les compositeurs de la Renaissance. De la messe construite autour d’une teneur, une simple mélodie, à la messe se structurant autour d’une polyphonie préexistante, l’ensemble vocal vous invite à aller à la rencontre de l’esprit bâtisseur et de l’univers créatif des chantres des XVe et XVIe siècles.

Musique vocale sacrée de la Renaissance.

Palestrina & Lassus, génies de la musique de la fin du XVIe siècle.

Les vies de Giovanni Pierluigi da Palestrina et d’Orlande de Lassus sont à la fois étonnamment mêlées et radicalement différentes par les chemins empruntés et le tempérament exprimé, leurs musiques en témoignent. Giovanni, le sédentaire (il sera sa vie durant au service de la papauté) écrit une musique liturgique fortement inspirée par la Contre-Réforme alors que sa musique profane ne sera que secondaire dans sa production. Orlande, le nomade (des Flandres à Munich en passant par Naples, Rome et Londres) compose dans des styles aussi divers que le madrigal italien, la chanson française galante voire gaillarde et la musique sacrée. Le style de Palestrina est un exemple de contrepoint maîtrisé et abouti, celui de Lassus est foisonnant d’idées et riche de caractère, de nouveautés et de formes.
La missa « Nasce la gioia mia » est une messe parodie inspirée du madrigal éponyme du compositeur napolitain Giovan Leonardo Primavera, ami de Carlo Gesualdo. La science du contrepoint et la maîtrise liturgique de Giovanni Pierluigi da Palestrina font de cette messe l’une des plus abouties du maître romain. Des motets de Orlande de Lassus viennent compléter ce programme intense, spirituel et savant.
 
Missa « Nasce la gioia mia » de Giovanni Pierluigi da Palestrina,
Motets d’Orlande de Lassus,
Madrigal de Giovan Leonardo Primavera,

Création d'un motet de Fabio Marra (commande des Voix Animées pour l’Abbaye du Thoronet).

13^e cycle de concerts « Entre pierres et mer »

Ite missa est
 
Les Voix Animées vous emmènent cette année au cœur de l’architecture sonore et musicale à la découverte de deux techniques d’écriture pratiquées par les compositeurs de la Renaissance. De la messe construite autour d’une teneur, une simple mélodie, à la messe se structurant autour d’une polyphonie préexistante, l’ensemble vocal vous invite à aller à la rencontre de l’esprit bâtisseur et de l’univers créatif des chantres des XVe et XVIe siècles. Dans l’acoustique remarquable de l’abbaye du Thoronet, les proportions du monument et les formes musicales se font écho, engendrant ainsi une expérience sensible et spirituelle.

Musique vocale sacrée de la Renaissance.

Palestrina & Lassus, génies de la musique de la fin du XVIe siècle.

Les vies de Giovanni Pierluigi da Palestrina et d’Orlande de Lassus sont à la fois étonnamment mêlées et radicalement différentes par les chemins empruntés et le tempérament exprimé, leurs musiques en témoignent. Giovanni, le sédentaire (il sera sa vie durant au service de la papauté) écrit une musique liturgique fortement inspirée par la Contre-Réforme alors que sa musique profane ne sera que secondaire dans sa production. Orlande, le nomade (des Flandres à Munich en passant par Naples, Rome et Londres) compose dans des styles aussi divers que le madrigal italien, la chanson française galante voire gaillarde et la musique sacrée. Le style de Palestrina est un exemple de contrepoint maîtrisé et abouti, celui de Lassus est foisonnant d’idées et riche de caractère, de nouveautés et de formes.
La missa « Nasce la gioia mia » est une messe parodie inspirée du madrigal éponyme du compositeur napolitain Giovan Leonardo Primavera, ami de Carlo Gesualdo. La science du contrepoint et la maîtrise liturgique de Giovanni Pierluigi da Palestrina font de cette messe l’une des plus abouties du maître romain. Des motets de Orlande de Lassus viennent compléter ce programme intense, spirituel et savant.
 
Missa « Nasce la gioia mia » de Giovanni Pierluigi da Palestrina,
Motets d’Orlande de Lassus,
Madrigal de Giovan Leonardo Primavera.

13^e cycle de concerts « Entre pierres et mer »

Ite missa est
 
Les Voix Animées vous emmènent cette année au cœur de l’architecture sonore et musicale à la découverte de deux techniques d’écriture pratiquées par les compositeurs de la Renaissance. De la messe construite autour d’une teneur, une simple mélodie, à la messe se structurant autour d’une polyphonie préexistante, l’ensemble vocal vous invite à aller à la rencontre de l’esprit bâtisseur et de l’univers créatif des chantres des XVe et XVIe siècles.

Musique vocale sacrée de la Renaissance.

Noël à Rome, Palestrina & Victoria au service de la papauté.

Le maître, Giovanni Pierluigi da Palestrina, et son disciple, Tomás Luis de Victoria composent chacun une messe parodie sur leur propre motet pour le temps de Noël « O magnum mysterium ». Alors que Palestrina déploie une grande forme à six voix dont la couleur angélique est clairement affirmée, Victoria, choisit l’intimité du chœur à quatre voix en créant ainsi une véritable crèche sonore. Tour à tour, une imposante architecture sonore et une douce spiritualité entrent en dialogue et célèbrent le mystère de la Nativité. Nous assistons ainsi à un véritable exercice de style, celui de la messe parodie, telle une leçon dispensée par deux des plus grands compositeurs de la seconde moitié du XVIe siècle. Le programme de ce concert leur est consacré tout en rendant un hommage appuyé au Maître romain dont le répertoire est particulièrement défendu par Les Voix Animées depuis leur création en 2009.
Si Giovanni Pierluigi da Palestrina est resté toute sa vie au service de la papauté, son influence s’est étendue bien au-delà de la sphère vaticane et notamment dans la péninsule ibérique terre de Contre-Réforme. De véritables pépites musicales, des motets de compositeurs espagnols et portugais souvent oubliés, viennent compléter ce concert.
 
Missa « O magnum mysterium » de Giovanni Pierluigi da Palestrina,
Missa « O magnum mysterium » de Tomás Luis de Victoria,
Motets de Juan de Esquivel Barahona, Alonso Lobo, Felipe de Magalhães, Cristobal de Moralès.

13^e cycle de concerts « Entre pierres et mer »

Ite missa est
 
Les Voix Animées vous emmènent cette année au cœur de l’architecture sonore et musicale à la découverte de deux techniques d’écriture pratiquées par les compositeurs de la Renaissance. De la messe construite autour d’une teneur, une simple mélodie, à la messe se structurant autour d’une polyphonie préexistante, l’ensemble vocal vous invite à aller à la rencontre de l’esprit bâtisseur et de l’univers créatif des chantres des XVe et XVIe siècles.

Musique vocale sacrée de la Renaissance.

Noël à Rome, Palestrina & Victoria au service de la papauté.

Le maître, Giovanni Pierluigi da Palestrina, et son disciple, Tomás Luis de Victoria composent chacun une messe parodie sur leur propre motet pour le temps de Noël « O magnum mysterium ». Alors que Palestrina déploie une grande forme à six voix dont la couleur angélique est clairement affirmée, Victoria, choisit l’intimité du chœur à quatre voix en créant ainsi une véritable crèche sonore. Tour à tour, une imposante architecture sonore et une douce spiritualité entrent en dialogue et célèbrent le mystère de la Nativité. Nous assistons ainsi à un véritable exercice de style, celui de la messe parodie, telle une leçon dispensée par deux des plus grands compositeurs de la seconde moitié du XVIe siècle. Le programme de ce concert leur est consacré tout en rendant un hommage appuyé au Maître romain dont le répertoire est particulièrement défendu par Les Voix Animées depuis leur création en 2009.
Si Giovanni Pierluigi da Palestrina est resté toute sa vie au service de la papauté, son influence s’est étendue bien au-delà de la sphère vaticane et notamment dans la péninsule ibérique terre de Contre-Réforme. De véritables pépites musicales, des motets de compositeurs espagnols et portugais souvent oubliés, viennent compléter ce concert.
 
Missa « O magnum mysterium » de Giovanni Pierluigi da Palestrina,
Missa « O magnum mysterium » de Tomás Luis de Victoria,
Motets de Juan de Esquivel Barahona, Alonso Lobo, Felipe de Magalhães, Cristobal de Moralès.

13^e cycle de concerts « Entre pierres et mer »

Ite missa est
 
Les Voix Animées vous emmènent cette année au cœur de l’architecture sonore et musicale à la découverte de deux techniques d’écriture pratiquées par les compositeurs de la Renaissance. De la messe construite autour d’une teneur, une simple mélodie, à la messe se structurant autour d’une polyphonie préexistante, l’ensemble vocal vous invite à aller à la rencontre de l’esprit bâtisseur et de l’univers créatif des chantres des XVe et XVIe siècles. Dans l’acoustique remarquable de l’abbaye de Silvacane les proportions du monument et les formes musicales se font écho, engendrant ainsi une expérience sensible et spirituelle.

Musique vocale sacrée de la Renaissance.

Noël à Rome, Palestrina & Victoria au service de la papauté.

Le maître, Giovanni Pierluigi da Palestrina, et son disciple, Tomás Luis de Victoria composent chacun une messe parodie sur leur propre motet pour le temps de Noël « O magnum mysterium ». Alors que Palestrina déploie une grande forme à six voix dont la couleur angélique est clairement affirmée, Victoria, choisit l’intimité du chœur à quatre voix en créant ainsi une véritable crèche sonore. Tour à tour, une imposante architecture sonore et une douce spiritualité entrent en dialogue et célèbrent le mystère de la Nativité. Nous assistons ainsi à un véritable exercice de style, celui de la messe parodie, telle une leçon dispensée par deux des plus grands compositeurs de la seconde moitié du XVIe siècle. Le programme de ce concert leur est consacré tout en rendant un hommage appuyé au Maître romain dont le répertoire est particulièrement défendu par Les Voix Animées depuis leur création en 2009.
Si Giovanni Pierluigi da Palestrina est resté toute sa vie au service de la papauté, son influence s’est étendue bien au-delà de la sphère vaticane et notamment dans la péninsule ibérique terre de Contre-Réforme. De véritables pépites musicales, des motets de compositeurs espagnols et portugais souvent oubliés, viennent compléter ce concert.
 
Missa « O magnum mysterium » de Giovanni Pierluigi da Palestrina,
Missa « O magnum mysterium » de Tomás Luis de Victoria,
Motets de Juan de Esquivel Barahona, Alonso Lobo, Felipe de Magalhães, Cristobal de Moralès.

13^e cycle de concerts « Entre pierres et mer »

Ite missa est
 
Les Voix Animées vous emmènent cette année au cœur de l’architecture sonore et musicale à la découverte de deux techniques d’écriture pratiquées par les compositeurs de la Renaissance. De la messe construite autour d’une teneur, une simple mélodie, à la messe se structurant autour d’une polyphonie préexistante, l’ensemble vocal vous invite à aller à la rencontre de l’esprit bâtisseur et de l’univers créatif des chantres des XVe et XVIe siècles.